PROJECT MANAGEMENT
THEATRE / DANSE
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LIVING-ROOM DANCERS
Gestion de production : ART_is(t) services
Dance is their passion; they dedicate a good deal of their free time to it. "They" are the protagonists of Living-room dancers, creation in the form of a choreographic walk through the city. Encountered through announcement postings or by word-of-mouth, these passionate individuals practice tap-dancing, electro, salsa, Argentine tango, expressive dance, samba or even pole dancing. In Living-room dancers, each one inhabits a private apartment that has been transformed into a dance-floor for the evening. These normally very intimate moments are perceptible from street-level with the help of binoculars and MP3 players. Along with the guided city tour, a film which presents portraits of each of the various dancers in the performance, is projected in a participating theater. The performance and the film confront private and public spaces, while playing with our appetite for voyeurism and exhibitionism.
MALAIKA
Gestion de production : ART_is(t) services

MALAIKA
Mise en scène : Milla Trausch
Ateliers de conte, musique et mouvement: Betsy Dentzer, Sada Diagne , Luc Hemmer,
Jeu : Betsy Dentzer, Sada Diagne , Luc Hemmer et les jeunes
Ateliers de chant : Camille Kerger
Regard extérieur scénographie : Michel Feinen
Costumes : distribution en cours
Création lumière : Rotondes
Technique : Nina Schaeffer
Regard extérieur : Ela Baumann
Coordination de production : ART_is(t) services | Séverine Zimmer
Production : Theater Traverse
Coproduction : CCRD opderschmelz, Rotondes, Coopérations a.s.b.l.
© Sven Becker
©Sven Becker
Après HOME SWEET HOME et HELLO GOODBYE COME BACK, ce troisième volet du WIDESIDE PROJECT de la compagnie THEATER TRAVERSE réunit jeunes et artistes professionnels sur scène. Les thèmes abordés pendant les répétitions évoquent les origines diverses des interprètes, leurs traditions, leurs souvenirs d'enfance et leurs coutumes. Le terme « Malaika », qui en swahili signifie « ange » ou « esprit bienveillant » sert de fil conducteur et est à la base de la thématique. Dans un processus de création collective et suite à une recherche commune, les comédiens ont inventé une histoire de fiction à partir de matériel en partie biographique. Celle-ci s’est élaborée en relation avec les spécialités des artistes professionnels : danse africaine, percussion sous toutes ses formes, conte ainsi qu’éléments du Performance Art.
Jo, sa soeur Kadija et leur amie Malaika grandissent dans un petit village paisible, un village dans lequel "les enfants peuvent être enfants". Un jour, leur enfance innocente vient à terme de manière brutale...
HELLO, GOODBYE, COME BACK
Gestion de production : ART_is(t) services

HELLO, GOODBYE, COME BACK
Mise en scène : Milla Trausch Regard extérieur : Betsy Dentzer
Violoncelle : Beate Wolff
Danse : Aifric Ni Chaoimh
Avec la participation exceptionnelle de : Serge Tonnar
Accompagnement mise en scène : Yehia Sheikhouney
Gestion de projet : ART_is(t) Services I Séverine Zimmer
Producteur : Theater Traverse asbl
Soutien : DreamUP by Fondation BNP Paribas
©Sven Becker
Pour cette recréation du projet HELLO GOODBYE COME BACK, des jeunes adolescents de pays divers, chacun ayant leur personnalité et culture, se rencontrent sur le plateau autour de différentes questions en relation avec leur pays d’origine et leur pays de résidence : le Luxembourg. Pourquoi suis-je ici ? Pourquoi ai-je choisi le Luxembourg ou comment suis-je arrivé ici ? Quelles étaient mes craintes avant d’arriver et à quoi ressemble ma vie à l’heure actuelle, comment sont les relations avec mes amis ? Qu’est-ce qui me manque et quels sont mes rêves ? De façon très ludique et à travers la danse, le chant et la performance, les jeunes présentent un spectacle qu’ils ont conçu eux-mêmes, qui parle de leur vision et versions propres d’une personne qui a quitté son pays.
HELLO GOODBYE COME BACK est le deuxième volet de la trilogie du Wideside project soutenu par le programme Dream Up de la Fondation BNP Paribas et met en scène 12 jeunes autour de la metteure en scène Milla Trausch, la violoncelliste Beate Wolff et la danseuse Aifric Ni Chaoimh.
Yuko Kominami : DREAMING SCARLET MEDUSA
Gestion de production : ART_is(t) services

DREAMING SCARLET MEDUSA
Centre Culturel Régional Opderschmelz
06.04.2017 à 20H00
LUM - Lima, Pérou
27.05.2017 à 20h
Danse: Yuko Kominami
Musique: Tomás Tello
Vidéo : Diego Vizcarra
Création lumières : Vincent Urbani
Regard extérieur : Camille Mutel
Gestion de production : ART_is(t) Services I Séverine Zimmer
©Sven Becker
La pièce est le résultat d'une recherche sur les significations et les récits de danse basé sur des rencontres entre les danses traditionnelles et une danse contemporaine, à savoir le butoh.
Les premières sont pratiquées depuis de longues périodes et ont ainsi subit des changements et transformations au fil des années alors que le butoh est jeune et s’est façonnée par la dé-construction et reconstruction de pratiques existantes.
A travers les rencontres et explorations de récits dans chaque pratique, la recherche tente de reconstruire et de réaffirmer la signification et la valeur de la danse à un niveau personnel et universel.
Scarlet Medusa - traduction littérale de Beni-Kurage en japonais (nom scientifique Turritopsis nutricula) est une petite méduse qui, une fois atteint l'âge adulte, peut transférer ses cellules et retourner à son état primaire.
Symboliquement, elle soutient l’idée que le sens universel de la danse est en quelque sorte de se régénérer et de se réaffirmé en permanence, de continuer à vivre et se transformer en tout temps et lieux.
BILDER DEINER GROßEN LIEBE
Gestion de production : ART_is(t) services

BILDER DEINER GROßEN LIEBE
Rotondes :
16 novembre 2016 à 19h / 18 novembre 2016 à 10h (scolaire)
Théâtre d’Esch :
19 janvier 2017 à 10h (scolaire) / 19 janvier 2017 à 20h
CAPE :
02 février 2017 20h / 03 février 9h30 (scolaire)
©Sven Becker
Isa. 15 Jahre ? Verrückt. Aber nicht bescheuert ! « Weil das so viele Leute denken, dass die komplett bescheuert sind, die Verrückten, nur weil sie komisch rumlaufen und schreien und auf den Gehweg kacken. »
Isa läuft... barfuß. Zuerst haut sie aus der Jugendpsychiatrie ab und nimmt uns dann mit auf eine Reise durch Wälder, Dörfer, Müllhalden und Schiffskanäle. Mit Zweifel, Wut, Freude, Frieden sowie dem Sternenhimmel als ständige Wegbegleiter, macht sie sich, so ihre Gedanken... zum Beispiel über das Leben und den Tod, über Krankheit und Wahnsinn, über Jungs und Mädchen, über Geborgenheit und Verlassensein. Begegnungen mit einem taubstummen Kind, einem Schiffskapitän oder ehemaligen Bankräuber, einem Schriftsteller mit Rasenmäher oder auch einem Blonden und einem Russen mit Lakritzschnecken säumen ihren Weg.
Die junge Compagnie Theater Traverse hat sich mit dem unvollendeten Roman « Bilder deiner großen Liebe » von Wolfgang Herrndorf beschäftigt um, unter der Regie von Milla Trausch Bilder, Live-Musik, Bewegungen und Objekte auf vielfältige Art und Weise zu einem überraschenden und intensiven Geflecht zu verweben.
Nach dem gleichnamigen Romanfragment von Wolfgang Herrndorf, in einer Bühnenbearbeitung von Robert Koall und musikalischen Auszügen aus Werken von Casey Cangelosi, Bruce Hamilton, Scott Lindroth und Ben Wahlund.
LES ARTGONAUTES
Gestion de production : ART_is(t) services

ARGOS
Direction artistique Philippe Talard
Musique originale André Mergenthaler
Scénographie & costumes Johannes Conen
Photographies Alfons Alt
Vidéos Manu Di Martino
Créé avec & interprété par
Jean Bermes, Sylvia Camarda, André Mergenthaler,
Laurence Koch, Hervé Sogne, Jean-Guillaume Weis
et Ana Arroyo, Laura Bandelloni, Jean Konan Kouassi, Mylena Leclercq, Alessio Martinoli, Johan King Silverhult
Production Les Théâtres de la Ville de Luxembourg
En collaboration avec le Centre de Création Chorégraphique Luxembourgeois TROIS C-L & ART_is(t) Services | Séverine Zimmer
Samedi 1er OCTOBRE 2016 à 20h00 (tickets)
Dimanche 2 OCTOBRE 2016 à 17h00 (tickets)
Adultes 20 € / Jeunes 8 € / Kulturpass bienvenu
Lieu: Grand Théâtre / Studio
LE NOUVEAU COLLECTIF D’ARTISTES LUXEMBOURGEOIS &
INTERNATIONAUX PRÉSENTE: ARGOS
UNE CRÉATION INSPIRÉE DES MÉTAMORPHOSES D’OVIDE & AUTRES CONTES CHIMÉRIQUES
[En se basant sur la mythologie grecque, Argos conte de manière allégorique les relations de couple avec tout ce que cela peut engendrer de passion, d’amour, de fascination, mais aussi de trahison, de vengeance, de désespoir. Ce qui unit finalement les tragédies mythiques de Jason et Médée, Persée et Andromède, Orphée et Eurydice, Œdipe et Antigone, Thésée et Phèdre, Jupiter et Junon... prend son origine non seulement par les filiations directes et indirectes des Dieux, ou par les mariages, adultères et incestes des Hommes, mais surtout par la manière que tous ces couples ont de sublimer ou de subir leurs destins amoureux.
Argos n’est ni une pièce de théâtre, ni un ballet, un opéra ou un concert, mais plutôt, (grâce aux talents conjugués de ses interprètes: six danseurs, trois acteurs, un chanteur et deux musiciens, dont certains, bien de «chez nous»), un conte révélant au public les multiples facettes de la nature humaine. Dans cette «boîte de Pandore» ou «mosaïque du vide» que nous appelons «théâtre», le collectif des Artgonautes désire recréer ainsi le dialogue fusionnel de deux êtres, qui reste la substance essentielle de toute création théâtrale.
«Que ne puis-je, à l'exemple de Prométhée mon père, créer de nouveaux hommes, et animer l'argile comme lui? Nous sommes à nous deux le genre humain: ainsi les dieux l'ont voulu, et nous seuls témoignons maintenant qu'il exista des hommes sur la terre.» Les Métamorphoses d’Ovide –Deucalion et Pyrrha (Livre 1 – 313-415)
HOME SWEET HOME
Gestion de production : ART_is(t) services

HOME SWEET HOME
wideside project
12. & 13.04.2016
Mierscher Kulturhaus
14. & 15.04.2016
opderschmelz
Centre Culturel Région Dudelange
Pour le développement de la pièce, des danseurs internationaux, acteurs et musiciens ont rencontré jeunes et aux adultes d'horizons différents, dont le point commun est d’avoir dû quitter leur patrie. Ces rencontres constituent la base de la mise en scène.
Ces personnes fuyant leur pays se retrouvent dans un nouvel environnement dans lequel ils sont étrangers. C’est alors qu’au travers de flashbacks, ils revivent leur passé : leur enfance, leur ancienne patrie, leur voyage jusqu’ici. Home Sweet Home dresse un tableau complexe de la dignité et de la capacité de survie de l'homme, avec ses désirs, ses soucis, ses rêves, ses peurs, et montre comment, en dépit de tout ce qui lui arrive, parvient à trouver son chemin dans la vie.
Home Sweet Home est la première partie de wideside project, un projet artistique et pédagogique autour des thèmes de la Patrie, de la Fuite et de l’Etranger.
PHILOKTET
Gestion de production : ART_is(t) services

PHILOKTET
De HEINER MÜLLER
Mise en scène Karolina Markiewicz
Dramaturgie Karolina Markiewicz, Pascal Piron
Avec Ada Günther, Dennis Laubenthal, Marco Lorenzini
Scénographie Pascal Piron
Musique Nima Azarmgin, Ásta Fanney Sigurðardóttir, Soleil Noir
Animation 3D Eric Schockmel
Costumes Belle Sauvage
Lumières Jeff Metten
Construction Equipe technique neimënster
Coordination Séverine Zimmer - ART_is(t)
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AUSSTELLUNG / EXPOSITION
Some people laughed,
some people cried,
most people were silent
Karolina Markiewicz, Pascal Piron, Eric Schockmel
Neimënster, caves voutées et cloître : 16.09.15 – 31.10.15
CAPE : 26.11.15-14.12.15
Neimënster : 1/2/3 octobre
Opderschmelz Dudelange : 24 octobre
CAPE Ettelbruck : 26/27 novembre
Philoktet est une pièce d’Heiner Müller, auteur, dramaturge, poète et metteur en scène de l’Ex-RDA. Il prend comme base la pièce de Sophocle ainsi que les pièces anti-nationales-socialistes de Bertolt Brecht. L’enjeu pour Heiner Müller est de créer une tragédie qui tourne à vide. Il se concentre sur les trois protagonistes, Philoctète, Ulysse et Neoptolème, il supprime le chœur ainsi qu’Hercule. Il n’y a pour lui ni peuple ni dieux. Il s’agit ici d’une réflexion autour de la tragédie,le pouvoir et les débâcles de la corruption et de la manipulation politique et humaine, en général. De toute évidence, le Philoktet de Heiner Müller, est un combat de paroles, mené en suivant «le mot qui devient meurtre » d’après Hölderlin. Müller qualifiait aussi la pièce de «pièce anti-communiste». Il faut voir ici comment chacun des trois protagonistes (Philoctète, Ulysse et Neoptolème) trahit et détruit ce qui jadis lui a été essentiel. Cette mélancolie active qui en découle, nous l’avons souhaitée comme fil rouge, pour l’entièreté du projet Philoktet, entre la pièce et l’exposition qui fait écho à la pièce. Celle-ci se situe entre la tragédie vidée de son sens et la rupture ontologique que constitue l’utilisation de la bombe atomique.
Et elle se situe entre le texte de Heiner Müller et la nouvelle mise en scène ici et le discours de Julius Robert Oppenheimer, prononcé après les bombardements de Hiroshima et Nagasaki:
‘Now I am become Death, the destroyer of worlds.’